jeudi 1 avril 2010

Théâtre




Je suis gay, c'est toujours mieux que d'être triste...
Création 2009/2010

Avec «Je suis gay, c'est toujours mieux que d'être triste», c'est à nouveau un sujet qui sera au centre de nos choix: l'homosexualité. A la fois sujet singulier et pluriel, lieu d'histoires intimes et sociales, objet d'écriture, de réflexion, de débat... Y seront évoquées bien sûr, l’homosexualité féminine et masculine, la difficulté de s'accepter homosexuel et d’être accepté comme tel… mais aussi la possibilité de trouver malgré tout son équilibre et de développer des relations harmonieuses avec son entourage.

Loin de s'enfermer dans une démarche communautariste, cette lecture-spectacle se présentera pour le public comme une invitation à écouter, comprendre, reconnaître, apprivoiser cette différence-là, comme une forme de l'Altérité.

Encore une fois, nous refuserons de nous placer en donneurs de leçons ou en penseurs austères pour aller chercher, à travers une histoire, un style et l'humour aussi, matière à réflexion et ouverture.
Encore une fois, nous ne pourrons oublier que
nous sommes comédiens et nous donnerons corps et voix aux textes en recherchant une mise en espace simple mais forte pour servir au mieux le sujet.

A ce jour, les auteurs pressentis sont nombreux et tous bien sûr, ne pourront être retenus : P.Besson, M.Proust, P.Pasolini, E.Jourdan, C.McCullers, J.Grimsley, S.Selvadurai, S.McCauley, G.Vidal, W.Corlett, Y.Mishima, D.Arsand, E.M.Forster, R.Peyrefitte, A.Taïa..


Kiffe Bitume

Kiffe-Bitume, c'est une sorte de jeux. Une espèce de battle de mots, de textes a

utour du thème de l'univers urbain d'aujourd'hui et sa culture. Une manière de découvrir ce qui bouge, ce qui se crée, ce qui lutte pour exister, dans des espaces de vie dits "difficiles".
Cités et banlieues font éclore des œuvres et des artistes originaux et sensibles, révélant une créativité bien vivante.
Au-delà des préjugés et des amalgames en ouvrant les portes de nos ghettos respectifs, nous voudrions faire entendre les échos de ce que l'on appelle la "Culture Urbaine".

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire